Nul ne conteste aujourd’hui que le e-commerce est incontournable.
La pratique de commercialisation via une plateforme numérique aux mains du franchiseur ne saurait donc être condamnée si le contrat de franchise signé avec le franchisé ne l’interdit pas. Tel est d’ailleurs le sens de la jurisprudence.
Pourtant, avec la généralisation des sites internet marchands par les enseignes, les franchisés se trouvent soumis à une nouvelle forme de concurrence : celle que leur livre leur propre franchiseur à travers le site mis en place pour commercialiser ses produits ou services partout en France.